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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 23:50

             Depuis peu j'ai l'intime conviction que ma vie s'est arrêtée. Je dis je crois parce que c'est assez flou. Pourtant normalement je devrai être le premier au courant de l'avancement de ma vie, surtout si elle est fini. Ça a été brutal pas de prémisse pas de signe, rien, pas même un sms envoyé en langage abrégé, histoire de se mettre en condition. «  A Tu a Eur Signé La Mor »

 

              Je m'attendais pas à que ca vienne si tôt. Dumas a dit que « La mort est certaine, seul le moment nous est inconnue. » .Alors que Duval le pilier de bar lui il dit plutôt que la mort c'est la fin des emmerdes, et qui sera bien content de plus se coltiner sa bonne femme. Mais bon Duval c'est pas un poète.

 

                Bizarrement c'est pas du tout comme je l'imaginais. Principalement parce que j'imaginais pas grand chose. Le truc qu'est bien c'est que je suis pas tout seul, mais je connais personne. On est a peu près une centaine regroupé là. Les autres morts donnent l'impression d'être ici depuis longtemps. Ils ont tous un point commun : ils tirent tous la gueule. Soit parce qu'ils s'emmerdent, soit parce que comme certains se sont proclamés chef, ils disent de faire des trucs aux autres, sauf que comme y a rien à faire bah ca fait des conflits. Enfin des « conflits », les gens sont si vide de vie que appeler ca des « conflits » serait un peu exagéré. Certains on bien envie de se barrer mais pour aller où? Non j'ai l'impression que si on se tire on se retrouvera de toutes façon dans un autre groupe d'une centaine de personnes avec les mêmes emmerdes. Un truc qui m'a fait vraiment douter, c'est quand un macchabée est venu me faire signer un truc, là j'ai su que c'était officiel.

 

               Depuis que je suis mort je suis tout le temps crevé. J'ai un sentiment de fatigue qui augmente petit a petit et je vois pas comment y mettre fin. J'ai plus goût à rien, plus de motivation d'envie de volonté, rien. Parce que là où je suis on ne dors pas. Du moins j'ai pas trouvé de lit. C'est bizarre comme lieu les « limbes », y a pas de chambre ni de cuisine c'est pas du tout adapté à la vie. En même temps c'est un peu normal je suis mort ou j'étais vivant.

 

               D'ailleurs je ne sais même pas comment je dois m'exprimer. Dois-je parler de moi au passé et dire j'étais un homme qui... mais alors là les gens vous penser que j'ai changé de sexe. De même le verbe mourir n'a pas été prévu pour être dis à certaine personne et temps. Je serai mort ; je mourrai ; je mourus ; je suis mort ; J Kroi ke jsui Mor....

 

 

 

              A non merde pardon je me suis trompé je suis pas mort, j'suis trop con je viens juste de trouver un job. Autant pour moi.

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 10:30

Un jour est né un monsieur, qui n'avait qu'une pensée en tête.

Il n'avait plus la maitrise de ses idées, il était monomaniaque.

Nous ne le nommerons pas pour maintenir son anonymat.

Sa mentalité était mutilé par les méandres de ses mémoires.

Pour pouvoir se mouvoir dans ce monde monstrueux, il a tenté le maximum.

 

Il s'est marié avec une marginale de Mongolie qui aimait les mammoplasties.

Il apprit les arts martiaux marocains.

A manipuler des marionnettes pour des mandarins.

Il étudia la macro-économie de la Micronésie.

Il devint même marin dans la marine marchande du Malawi.

Malgré le manque de mer et de moyens militaires pour ce pays.

Il tenta de s'immerger dans du vin millésimé.

Ainsi que de s'immoler avec de la menthe à l'eau.

De reconstituer les marais du Mordor en Moselle.

Il chercha un moyen pour mouler des multiplexeurs.

Et un autre pour murmurer son malaise à des mouettes.

Une des taches les plus problématique,

fut de nettoyer l'appartement de Momo pour Meetic.

Il subit aussi une musicothérapie.

Mais son médecin étant fan de Lââm,

Celui ne lui fit que du mal.

Il fut mandaté pour maintenir la paix au Moyen-Orient.

Mais les marmots jouant avec mines se montrèrent fort peu accommodant.

 

Cette suite d'événements marquant n'étaient qu'une mascarade

qui ne le libérerait jamais des mémoires de Marjolaine, sa marmotte domestique psychotique.

Il mourut donc malheureux mais sans remords car jamais il n'avait été malhonnête si ce n'est qu'avec lui-même.

 

Non cette mélopée ne rime pas et si ça ne vous motive pas, je vous invite a vous masturber ou a aller cueillir des moules.

 

Merci pour votre aimable attention.

 

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15 février 2011 2 15 /02 /février /2011 23:00

           Il y a exactement 301 ans naissait le roi de France Louis XV. Si en entendant cette information on a envie de commencer une phrase par un « Au bah dis donc... » avec un air surpris et enjoué. On a tout autant envie de la finir avec un « … on en a rien a foutre. » sur un air sec et détaché.

 

            Mais la chose est drôle car si il était encore en vie, il entrerait ainsi dans son quatrième siècle d'existence. Ce qui est chose peu commune. Surtout pour un roi de France dont les espérances de vie sont aussi fine qu'une guillotine.

 

             Il suffirait simplement, grâce à des moyens spatio-temporelles, de supprimer le 10 mai 1774, jour de sa mort, et ainsi Louis XV ne vivrait pas sa mort. Si on retire ce jour du calendrier alors il serait encore en vie. Ce qui en ferait l'homme le plus vieux du monde.

 

              Et là on pourrait se dire que ce Louis serait alors mort le 11 mai ou au mieux le 12. Car la surprise d'être passé du 9 au 11 d'un coup aurait provoquée une stupéfaction à Loulou, et cet intérêt à ce mystère l'aurait un peu plus accroché à la vie, ne serait-ce qu'une nuit de plus. Mais non car si il a été décidé qu'il devait mourir le 10 c'est le 10. C'est précis ces choses-là.

 

             Et pour nous aussi il y aurait changement, car nous nous serions encore hier, qui serait aujourd'hui, et aujourd'hui serait demain. Seul lundi en huit ne bougerait pas.

 

             Alors pour des raisons de pertinence de l'espace-temps il faudrait prendre le temps de replacer ce 10 mai à un moment donné. On pourrait choisir entre le 11 et le 12 novembre 2011. Ce qui est bien car comme le 11 novembre 2011 est un vendredi et le 10 mai 1774 un mardi, ce jour deviendrait jour non-travaillé, pour pouvoir faire le pont avec le 11 novembre férié. De plus enchainer 9 10 11 10 12 serait l'occasion de situation cocasse. « _On est le combien demain? _ le 10 ! _ Mais c'était pas hier ? _ Je vois pas le rapport. Cette question est absurde.».

 

              Alors hélas ce choix impliquerait la mort de Louis XV. Mais bon comme il a choppé la variole en avril 1774. On ose imaginer son état après 236 ans de convalescence.

 

                 Si vous comprenez le sens de cet article, où tout du moins son sens de lecture merci de me contacter.

 

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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 03:00

             Je souhaiterais revenir si vous le voulez sur une expression qui me taraude de temps en temps. Enfin quand je dis «si vous le voulez» je suis pas entrain de vous demander votre avis, je n'en ai rien à battre. C'est juste une formule de politesse et une manière comme une autre de mettre en place mon sujet. Et en m'adressant directement à vous, je désire vous impliquer personnellement dans la réflexion, et ainsi que vous teniez la lecture jusqu'à la fin de cet article qui vous le verrez est parsemé de péripétie. Et donc l'expression en question c'est ….heu ba …. ha ba j'ai oublié.

 

              Maintenant je sais plus de quoi je voulais vous parler avec votre façon de me perturber. Vous êtes trop demandeur là, soyez un petit peu moins sur votre nuage les mecs, faut un peu moins se la péter bordel. Moi je me cogne le crane à vous faire des formules de politesse pour créer une sorte de lien entre l'auteur et le lecteur et vous vous arrivez comme ça style de rien genre je fais ce que je veux, j'arrive sur le blog à n'importe quel heure, de jour comme de nuit, je préviens même pas, je demande pas de nouvelles, je me balade, je fouille, je scrute, je critique, je fais comme chez moi, lalala c'est la fête de la carioca et au final avec votre impudence vous me faites perdre le fil de mes pensées, non mais quel culot sans déconner.

 

              C'est fait maintenant je suis énervé RRRRRRR ça c'est la retranscription de mon grognement de rage. Là c'est de trop, je suis au bout du bout et y en a marre. J'ai envie de tout casser, mais bon comme le seul truc que j'ai sous la main c'est mon PC je vais me retenir parce que bon voilà. Non et puis là je le sentais bien cet article, j'allais bien partir sur de l'absurde et tout. Mais bon maintenant même si je retrouvais ma pensée j'aurais plus envie. C'est bête quand même, moi qui me suis engagé avec moi-même à faire au moins un article d'une demi-page par semaine, à présent ca va être chaud pour que je me calme pour me remettre à écrire ma demi-page.

 

               Ha ba finalement là voilà ma demi-page, ha c'est cool. Bon alors votre audace ca passe pour cette fois mais que je vous y reprenne pas.

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 00:45

                   Une chaise longue est une chaise assez longue pour pouvoir supporter les jambes de l'utilisateur. Cet objet est donc le meilleur compromis entre la chaise classique, donc sans aménagement pour reposer ses pieds après une longue marche, par exemple dans un centre commercial afin de s'acquérir de bons légumes pour faire une bonne soupe. Et le lit qui lui ne possède pas de dossier, obligeant la personne à ce tenir complètement à l'horizontal rendant ainsi très difficile la dégustation de la bonne soupe.

 

                              De par sa nature médiane la chaise longue est inclassable, ni ying ni yang, ni bien ni mal, ni chapi ni chapo, la chaise longue représente la quintessence de la vie de part son caractère indécis. Philosophiquement cet objet est d'un tel apport qu'au même titre que les hommes viennent de Mars et les femmes de Venus, on peut considérer que les chaises longues viennent de Pluton. Oui elles méritent une planète. Alors après ca reste que des sièges, alors une planète oui, mais on leur refile Pluton. La planète toute naze toute perdue toute reculée dans le fond du système solaire. Le truc c'est une petite caillasse où y a rien dessus, pas un arbre, un bout de truc vivant, un centre communal, rien. Que des galets. En plus depuis peu Pluton a été rétrogradé de planète à planète naine, ou planète transneptunienne si on veut se la péter en termes technique.

 

                   Alors autant au début de l'article, vous deviez vous dire mais qu'est ce qu'il vient nous enquiquiner avec ces transats. ( j'ai conscience qu'il est peut probable que vous ayez pensé au mot enquiquiner qui est hélas que trop peu usitée de nos jours). Autant après la lecture, il semble évidant que de parler des chaises longues, et plus particulièrement des chaises longues de type jardin comme vous avez pu le remarquer, était inévitable. Il est d'ailleurs étonnant que cela n'est pas été traité plus tôt.

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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 12:00

              C'est dans les environs de Limoges que vivait Larry un jeune homme que l'on pourrait définir comme assez naze. Je veux dire, il a beaucoup de principes  et d'idée reçus sur pleins de sujets plus particulièrement les sujets qu'il ne connait pas. Il juge les gens, ne les respecte pas il est mesquin cupide, intéressé..., bref Larry est quelqu'un de très médiocre. Et le pire est qu'il possède un ego sur-dimensionné ce qui fait qu'il s'adore et que donc il n'y a aucune chance qu'il se remette en question un jour. (En situant mon récit a Limoges je n'insinue pas que Limoges est une ville naze, j'y ai jamais mis les pieds et j'suis même pas certain de savoir exactement où ca se trouve)

              Donc là je pense qu'après ce descriptif vous devez penser que Larry est le méchant de l'histoire et que le héros va bientôt arriver et affronter Larry. He bien en fait ce personnage médiocre est en réalité le héros de l'histoire. Certes d'ordinaire les héros sont remplies de bonnes intentions et d'un cœur pur...., eh bin non pas celui-ci. Et si vous pensez que justement s'il est repoussant, c'est justement pour que ensuite il évolue vers des valeurs pures et bien c'est vous fouter le doigt dans l'œil, Larry est médiocre et il le restera.

              Comme toutes les personnes aigri Larry passait son temps à critiquer et reporter ses erreurs sur les autres. Et c'est alors que ronchonnant sa crétinerie à sa fenêtre, il vit un homme jeter un bout de papier au sol. Là une personne normal ne l'aurait pas relever. Mais c'était mal connaitre Larry qui sortie de chez lui en direction de l'homme près à lui adresser des remontrances en étant sûre de son bon droit et aucune conscience de sa connerie.

 

Larry      _Comment osez-vous jeter un bout de papier par terre?

Paul       _Queoua??? dit l'homme qui s'appelait Paul ( oui je sais c'est pas original comme prénom)

Larry    _Je vous ai vue jeter votre papier, c'est pas bien

Paul    _Ba mais pourquoi vous m'emmerdez!!

Larry    _A ba j'étais à ma fenêtre et puis je vous ai vue . Alors je me suis dit que venir vous voir ferait bien avancer le récit

Paul    _Le récit ???

Larry     _ A ba oui parce que là on est en plein milieu d'une histoire fictionné qui se déroule a Limoges.

Paul    _Une fiction ??? Mais alors je n'existe pas vraiment ??

Larry    _Ba non mais moi non plus si ça peut vous rassurer. En même temps moi apparemment j'suis un connard alors c'est pas plus mal si j'existe pas.

Paul    _Ha bon et moi qui suis je? Un connard aussi?

Larry    _ Ha ba ca on sait pas l'auteur vous a pas décrit, on sait juste que vous vous appelez Paul.

Paul    _Mais c'est horrible je suis choqué. Mais vous on dirait que ca vous atteint pas.

Larry    _ Ba ca m'atteint pas, parce que l'auteur en a décidé ainsi. C'est comme vous, il a décidé que vous réagiriez comme une peureuse alors vous réagissez comme une peureuse.

 

Paul    _A mais qu'est ce qui vient de se passer là??

Larry    _ On vient de changer de paragraphe ca aère le texte et rend la lecture plus facile.

Paul    _Queoua???

Larry    _Bon la je trouve que vous prenez un petit trop de place dans ce récit dont je le rappelle je suis le héros.

 

            L'ego de Larry était tellement fort qu'il ne supportait pas partager l'histoire alors il tua Paul. Mais juste ensuite il se rendit compte que sans personne avec qui interagir, son récit s'arrêtait ici. Il pris conscience de son erreur et pour la première fois de sa vie de sa médiocrité. Fin

 

Finalement le héros il a un peu appris sur lui.

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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 15:22

 

                Diane Tell a dit « Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine D'un bateau vert et blanc ». Ce qui déjà est absurde, puisque vert et blanc pour un bateau c'est indubitablement hideux. Mais passons, pourquoi Diane veut elle devenir capitaine et en général pourquoi les gens veulent des responsabilités. Alors dans ce cas précis peut être que Diane est attiré par l'univers marin depuis toujours et elle rêve de pouvoir gueuler à la proie d'un bateau « dépareller les escarmousse sur tribord et tirer sur les amarraches » à un subalternes en ciré jaune, toutes en ayant conscience que la phrase ne veut rien dire et qu'elle est composée en sa plus grande partie de mots qui n'existent pas. En ensuite de s'entendre répondre par ce dit subalterne «  à vos hordes capitaine Tell » qui n'ayant pas compris la phrase ira tirer sur une corde au hasard à l'arrière du bateau. Si les gens veulent des responsabilités c'est tous d'abord parce qu'on leur à dit que c'était cool. Qu'il y a de l'argent du pouvoir etc... mais croyez vous vraiment que si c'était si cool on vous l'aurai dit. Et bien non la personne qui s'en saurait rendu compte serait aller prendre les responsabilités et aurai gardé son secret pour lui. On n'a jamais entendu personne dire «  Regarder il y a plein d'or ici » non la personne se taie et ramasse l'or. Le vrai luxe n'est pas dans la responsabilité au contraire, il n'y a rien de plus reposant que de se reposer sur quelqu'un qui encaisse les erreurs. On est toujours là à regretter ses 5 ans, parce que justement il n'y avait pas de responsabilité. Alors aujourd'hui les malins dise que avoir des responsabilités c'est cool pour que d'autre moins malin les prennes et taf ,et que pendant ce temps les autres glandent. Parce que après, avec les responsabilité on devient fou et on veut alors peindre un bateau en vert et en blanc.

   
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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 16:43

Henri Le Potier

 

Avertissement : cette histoire n'a rien à voir avec le mec anglais qui fait de la magie et qui vend plein de livres.

 

Henri Le Potier était un enfant comme tous les enfants : il avait 10 ans, vivait dans une cave avec une chèvre, était blond avec une barbe violette et avait des parents mi parents-mi bouteilles de lessive. Mais malgré cette normalité, il subsistait chez lui un défaut, d'autres diront une anomalie : il aimait les chemises à fleurs qui se vendaient sur le marché. Pauvre de lui, tous les enfants le taquinaient lorsqu'il déambulait sur les trottoirs de son petit village.

Mais Henri s'en moquait, car il était moqueur, petite précision que j'ai oublié d'apporter qui aura son importance à la fin de l'histoire lorsque Henri va mourir bouffé par un canard qui l'avait pris pour une baguette de pain (Henri Le Potier, baguette...comme je vous l'ai dit, n'y voyez aucun rapport avec l'autre débile qui pense qu'on peut faire voler un objet en y pensant très fort).

Enfin bref, je ne vais pas en dévoiler trop sur la fin de l'histoire, ça enlèverait tout le suspense. Parce que je sais que vous vous le demandez tous : le canard est-il mort après avoir mangé Henri? Parce que même à 10 ans, un enfant c'est gros pour un canard. Mais ne soyez pas si impatients, et attendez la fin de l'histoire.

Donc oui alors Henri aimait gambader gaiement avec ses belles chemises à petits prix, mais il était triste de ne pas avoir d'ami. De plus lorsqu'il rentrait chez lui, il n'avait personne à qui parler. Sa mère lui disait toujours "j'ai passé ma journée à nettoyer du linge, je suis vidée" (vous avez bien sûr vu le jeu de mots par rapport à ce que j'ai dit plus haut sur ses parents. Si ce n'est pas le cas, je vous prie de vous y référer car je ne réexpliquerai certainement pas le contexte de cette blague). Et son père qui rentrait toujours tard le soir dans un état d'ébriété avancé "ohh je suis plein comme une barrique" (de lessive, oui, oui. Désolé mais les jeux de mots avec des parents mi-parents-mi-bouteilles de lessive deviennent vite limités d'où la pauvreté de celui ci). Il n'avait donc personne.

"Mais si, me direz vous, il y a toujours la chèvre dans sa cave!!!". Et non j'avais oublié de préciser que la chèvre était morte depuis 4 ans et de toute façon une chèvre ça ne parle pas, vous êtes vraiment des imbéciles.

Donc il était seul et ne faisait donc que des occupations que l'on pouvait faire seul : tennis, ping pong, baseball, solitaire (car oui, contrairement à ce que tout le monde croît, le solitaire se joue seul) et commençait à s'ennuyer.

Il alla donc se promener à la rivière (vous vous dites "rivière, c'est là que le canard intervient" et vous avez parfaitement raison, mais arrêtez de me couper dans mon histoire) avec sa belle barbe rose et sa charmante chemise à fleur. Et là un canard le vit ("ouhaaa enfin le canard!!!!!!" mais bordel arrêtez de me couper sinon j'arrête mon histoire ici!!!) et l'animal pris notre pauvre Henri pour une baguette. Les fleurs et la barbe rose aurait dû lui faire penser plutôt à un crocodile, mais le canard n'étant pas un animal que l'on consulte lorsqu'on a des équations différentielles à faire, il se dit "oh une baguette de pain". Surtout qu'à ce moment là, Henri se moquait de lui.

Il sauta donc sur Henri ("Ouais!!!!!! De l'action!!!!" Bon vous avez gagné j'arrête mon histoire ici......non je déconne) et  commença à le manger. Mais le maire du village arriva, tua le canard et le mangea le soir-même en laissant le pauvre Henri se faire manger par les mangemorts (toujours aucun lien avec Harry Potter : mangemorts = individu qui mange les morts).

 

Voilà la fin de l'histoire.

 

Moral de l'histoire : si tu as une barbe rose et une chemise à fleurs, ne te promène jamais près de la rivière de peur que l'on te prenne pour une baguette de pain.

 

Question existentielle de l'histoire : Peut-on considérer le maire du village comme un cannibale, vu qu'il a mangé le canard qui a mangé Henri?

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20 janvier 2011 4 20 /01 /janvier /2011 15:00

             Le Ninja qui revenait d'une quête où il avait dû vaincre ses démons intérieurs de brulures d'estomac et de remonter de substances alcooliques, festoyait dans le foyer de son ami Tonio, célèbre pour son hospitalité. Le Ninja vagabondait dans la soirée de litre en litre d'alcool, quand tout d'un coup, en revenant de la salle de restauration il le vit. Fier droit inflexible: le golem de verre. Ce fourbe était venue à la soirée et c'était installé devant la sortie empèchant ainsi tout le monde …. et bin de sortir. «Oh non ce vilain bloque toutes échappées» cria le Ninja. Le sens du bien et du mal du Ninja ne fit qu'un tour. Près à tout pour défendre la liberté que le golem restreignait, ce pourfendeur de captivité décida de défier le golem. Le Ninja se mit en position de combat et il dit: «Pour que ce combat soit plus juste, je vais tenir ma chaussure droite dans ma main et t'attaquer avec ma chaussette». Le Ninja frappa le golem en son centre et celui-ci se brisa en mille morceaux. «Yeah 5 étoiles» s'écria le Ninja (pour comprendre il faut avoir joué à Kung Fu Chaos). Alors bien sûr la chaussette n'a pas suffit au Ninja pour éviter une blessure et son sang marqua le sol du combat . Mais le Ninja n'avait que faire de sa blessure, il savait qu'il avait défendu la liberté et ainsi tout le monde étaient libre de sortir.           Fin

 

Reconstitution:

 

reconstitution

 

 

Illustration du ninja par Hergé:

 

la ninja apres le coup illustration d'herge

 

  Trace du combatIMG 0436

 

 

 

 

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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 01:00

             Il y a très longtemps dans la foret bretonne Astérix chassait des sangliers. Ce qui pour le coup n'est pas du tout anormal. Mais c'est alors que confronter à ses actes maintes et maintes fois répété . Asterix se dit que son quotidien se devait d'être bousculé, que arrivé à 40 piges et toujours chasser des sangliers autour du même village c'est un petit peu faire preuve de manque d'ambition. Il partie alors à New York où il devint trader et il devint très riche très facilement. Fin.

 

              Oui je sais, là vous vous dites : quoi c'est déjà finis ba c'est n'importe quoi. On veut etre rembourser bon là on dit rien parce que on n'a pas payer mais bon... Genre l'histoire est trop courte et puis Asterix il arrive à son but comme ça sans obstacle pas de problématique à régler ba du coup on peut pas s'identifier on s'attache pas au héros vu qu'il souffre pas pour après gagner. Cette histoire n'a aucune morale ni structure. Bou bou bou.

 

                Alors oui vous avez totalement raison mais en même temps c'est pas ma faute si Asterix il a la potion magique dl'autre glandu. Ce qui fait qu' il a toujours l'ascendant sur les autres. Si le héros est naze parce qu'il a aucune faille c'est pas ma faute. Si le héros ca avait été genre, je sais pas moi Bécassine, bon ba là l'histoire aurait plus de chance d'être intéressante. Parce que déjà moi je l'aurai pas laisser partir, vu que c'est ma cousine et en même temps ma voisine. J'aurai dit non mais Béca tu peux pas partir comme ça voyons c'est n'importe quoi, New York c'est loin patati patata. Bécassine aurai du partir en lâchant son environnement ce qui en termes de problématique et d'intrigue est carrément plus cool. Genre Bécassine après à New York la Bretagne ca lui manque elle est triste haaaa flash back haaaa dépression haaa identification au thème de l'émancipation haaaa . Et ensuite l'économie elle pige walou beca alors hop cours du soir hop rencontre de nouvelles personnes pas du tout de son univers hop conflit tensions finalement amitié ... Et quand finalement Bécassine deviendra trader, malgré le handicap de ne pas avoir de bouche il faut le rappeler, ba là on sera content et le message de dépassement de soi et de courage sera présent. Ce qui est plus classe qu'avec ce connard d'Asterix, parce que sans son druide et sa mixture le Asterik c'est un pignouf breton comme un autre qui s'envoie des pintes et qui fou sur la gueule de ses potes. Alors Asterik maintenant tu fous le camp!....... Dans les albums les vrais héros, c'est les romains.

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